Mon bilan lecture du 2ème trimestre 2021

Les livres que j’ai particulièrement appréciés

Romans en langue française :

• Le pays des autres, Leïla Slimani, Gallimard : une jeune française au Maroc dans l’immédiat après seconde guerre mondiale. Un coup de cœur !
• Les papillons, Barcella, Le Cherche Midi : un premier roman empli de poésie. Un autre coup de cœur !
• L’oiseau bleu d’Erzeroum, Ian Manook, Albin Michel : la vie romancée de la grand-mère arménienne de l’auteur.

Romans étrangers :

• Qu’on lui jette la première pierre, Chester Himes, Clancier-Guenaud : les années de prison de l’auteur, roman autobiographique. Ne se trouve plus que chez les vendeurs de livres d’occasion ;
• L’Octopus et moi, Erin Hortle, Dalva : vies sauvages en Tasmanie.

Polars :

• Dans les brumes du mal, René Manzor, Éditions de l’épée : enlèvements dans les marécages de Caroline-du-Sud ;
• Qaanaaq, Mo Malø, Éditions de la Martinière : polar ethnologique sur la banquise groenlandaise ;
• Rendors-toi tout va bien, Agnès Laurent, Plon : quand l’indifférence tue… Pas loin du coup de cœur !

Poésie :

• Les Amours, Pierre de Ronsard, France Loisirs : de l’art de déclarer sa flamme en poésie ;
• Les gens de mon pays, Gilles Vigneault, l’Archipel : chants de l’amour du pays, de sa nature, de ses habitants et de sa langue. Ne se trouve plus que chez les vendeurs de livres d’occasion.

Essais :

• Nos racines paysannes, Pierrick Bourgault, Éditions Ouest-France : explorons nos racines paysannes avec Lucienne et Louis.

La grosse déception du trimestre

• La langue perdue, Giorgio Pressburger, Actes Sud : pour moi, ce fut “le fil (de l’intrigue) perdu”…

Sauf indication contraire, tous ces livres peuvent être achetés ou commandés à la librairie Les Pêcheurs d’Etoiles, parfois dans une édition différente de la mienne.

Michel Giraud