Aux administrateurs d’Osez Fontenay
Mes amis ( pour encore combien de temps..?) administrateurs de blog Osez Fontenay, vous n’avez pas été charitables en retirant l’article de l’adjoint J.M. Durand.
Le pauvre se prend une volée de bois vert de tous côtés, et semble-t-il même du sien.
Au lieu de continuer à écrire tranquillement d’intéressantes comparaisons entre Buchet et Pétain dans le pétillant blog de son camarade Chambon (le nouvel ami de « l’homme au passé politique ambigu », et ex futur sous vizir de l’urbanisme qui a raté la promo de l’année, on ne sait pas bien pourquoi), il a préféré écrire une page d’humour désopilant qui restera dans les annales de la littérature Fontenaisienne.
Ce n’est pas tant son style un brin empesé il faut l’avouer, ni son humour à la finesse du type Grosse Bertha sans recul qui a probablement provoqué une Kolossale rigolade chez ses collègues élus, qui a fait le buzz.
Non pas du tout.
C’est cette dualité entre le gestionnaire rigoureux qui vous colle une hausse d’impôts locaux moyenne de 15%, avec nous dit une élue de l’opposition, des pointes à 40% chez les moins aisés ( faut bien que M. Durand conserve des bonnes relations avec l’ami Bigret , l’adjoint qui ne voudrait pas voir certaines catégories de personnes au centre ville) et l’ écrivain ottoman primesautier aussi fin dans l’humour ciselé qu’il l’est dans les mesures financières taillées à la hache et fignolées au marteau piqueur ( aucune allusion ici à l’administrateur d’Osez Fontenay).
Il est certain que peu de Fontenaisiens connaissaient cette double personnalité au service de la cause publique. Voilà une injuste ignorance corrigée.
Merci à Mme Fontaine Bordenave de nous avoir permis ce beau moment de lecture qui a égayé nos longues journées bloqués dans nos maisons suite à l’ épisode neigeux.
Nota: J’autorise les administrateurs du blog à retirer immédiatement mon article et sans m’en avertir si la demande leur en était faite comme précédemment par un esprit chafouin, avant d’être condamnés pour diffamation et brûlés sur la place du Général de Gaulle avec leurs cendres répandues devant le futur immeuble Stalino-Versaillais de 6 étages .
Jean Guy Croland.
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