L. Vastel continue de faire perdre de l’argent à Fontenay-aux-Roses
On se rappelle bien sûr qu’en voulant passer en force son permis de construire de l’immeuble aux Mouilleboeufs, alors qu’il avait été prévenu que ce permis n’était pas légal, L. Vastel a été obligé de le rectifier.
En conséquence, il à fait perdre, suivant ses propres calculs, de l’ordre de 200 à 300000€ à la ville du fait du retard de la construction. ( On notera que dans son habituel esprit de transparence il a tenté vainement d’en faire porter la responsabilité à l’habitant mitoyen du projet qui l’avait aimablement prévenu que le permis était illégal).
Mais L. Vastel ne s’arrête pas là.
Il a voulu imposer que cet immeuble comprenne des 4 et 5 pièces. Et cela contre l’avis des gens compétents c.à.d. du promoteur/constructeur qui l’a prévenu que de tels appartements ne se vendraient pas.
Qu’a cela ne tienne, comme pour le permis de construire il a voulu imposer ses vues contre celui des spécialistes.
Bilan: les 4 et 5 pièces ne se vendent pas, et bien entendu le promoteur ne peut pas lancer la construction car il n’y pas assez de promesses d’achat pour assurer l’affaire.
Et donc? On refait les plans d’occupation de l’immeuble pour ôter les 4 et 5 pièces.
Mais c’est un travail lourd et donc du temps et donc une construction encore reculée.
Voilà, sur la 1 ère réalisation d’immeuble d’habitation que L. Vastel aura (peut être) fait construire avant la fin de sa mandature, 2 retards qui sont 100% imputables à son entêtement et qui vont couter beaucoup d’argent, en non rentée, à la ville.
Attendons un peu avant de lire dans ses propos que comme pour le 1 er problème d’illégalité du permis de construire, c’est de la faute du promoteur!
L. Vastel, J.M. Durand, D Lafon rabâchent réunions après réunions qu’il n’y a plus d’argent (malgré 15% de hausses d’impôts)?
Mais que font ils pour éviter d’en perdre?
Jean Paul Sevel
1 RÉPONSE
À notre départ en 2014, il restait environ 9 millions d’euros de la cagnotte que nous avions obtenue dans le cadre du contentieux avec le CEA.
Depuis, le maire a augmenté les impôts de 15% (trois fois la perte de dotations de l’Etat) et, à part les travaux dans les écoles demandées par Mme Bourdet, n’a conduit aucun grand projet (la place de l’Eglise n’aurait coûté que 300k€ à la ville). Où est passé l’argent ? Il serait sans doute souhaitable que la Chambre régionale des comptes d’ile de france vienne contrôler les comptes de la ville.
Gilles MERGY
Conseiller municipal
Ancien maire adjoint aux finances