Le Maire ne doit pas lire le Mag de Fontenay

Le Maire ne doit pas lire le Mag de Fontenay en tous cas pas l’excellente dernière tribune de son adjointe à la culture.
S’il l’avait fait il aurait retenu qu’il faut définir les mots.
Prenons par exemple le mot Zozo
Il faut différencier les Zozos irresponsables que vous êtes vous les administrateurs des blogs en ouvrant le dialogue entre les fontenaisiens, et les Zozos responsables.
Et dans ce dernier paquet on trouve:
Ceux qui ont fait un PLU tellement peu partagé avec les habitants qu’il a le record des hauts de seine des plaintes au Commissaire enquêteur et qu’il a entraîné une bonne dizaine de recours,
Ceux qui se sentent obligés de faire aux frais du contribuable un Mag spécial de 20 pages pour essayer de dire tout ce qui a été fait depuis 3 ans et qui se résume en un changement de la moitié des poubelles de la ville et une place de l’église qui pour 1,8M€ est désormais impraticable sauf sur les bords,
Ceux qui sont absolument incapable d’animer les comités d’habitants et qui avouent eux même être stressés quand ils doivent participer à une réunion de ces comités,
Ceux qui défendent aujourd’hui l’exact contraire de ce qu’ils défendaient sous l’ancienne mandature ( voir le Conservatoire Soubise)
Ceux qui décident des projets sans en parler ( ou sans en parler suffisament ou sans tout dire) aux Fontenaisiens ni aux habitants du quartier en se mettant en conséquence à dos même des gens qui leur étaient favorables ( voir projet de la place du général de Gaulle )
Ceux qui invectivent publiquement dans les conseils municipaux des Fontenaisiens animateurs de blog,
Ceux qui au mépris de la république irréprochable appellent à voter  aux présidentielles pour un candidat mis en examen et aux législatives pour un candidat déjà condamné dans le passé,
Ceux qui ne veulent pas reconnaitre qu’en ayant embauché du personnel de la commune voisine ou du Territoire sans trop de précaution (on va dire ça comme ça), ils provoquent un conflit d’intérêt.
Zozo oui, mais encore…
Un Zozo irresponsable,

Pascal Renault