Oh là ami, à votre lecture la tristesse m’envahit
Ami de la censure, de l’exclusion, du détournement de sujet, de l’argument fallacieux, du ministère de l’intérieur, ami donneur de leçons, ami Le Rozès, bonsoir.
Je vous le dis sans détour votre article m’a profondément attristé.
En premier lieu, j’y découvre mon nom. Sans aucun qualificatif. Un nom sec. Certains contributeurs de ce blog ont eux l’amabilité de me comparer aux meilleurs humoristes du siècle passé. Vous rien. Oualou. Nada. Sec comme un coup de trique.
Mais ce n’est rien à côté de l’attristant et surprenant constat que j’ai fait en vous lisant : vous ne lisez pas avec assez d’assiduité le blog Osez Fontenay.
Il est vrai que je vous imagine accaparé par les articles du blog du premier d’entre nous qui certes ne publie qu’ au mieux un article par trimestre mais dont la densité est telle que je conçois qu’il faille, pour certains, y passer des heures pour bien en saisir le sens profond.
Vous suggérerais-je si vous avez encore le temps entre 2 tweets que vous adressez, avec quel talent je reconnais, aux réseaux sociaux de reprendre le blog à ses débuts. J’y ai déjà répondu à cette question des pseudos, je ne le referai donc pas.
Mais simplement j’ajouterai ici à votre endroit une précision de taille, n’écrivant pas sous pseudo, je me badigeonne le nombril avec le pinceau de l’indifférence de ce que vous pouvez penser des pseudos.
Au fait, pardonnez cette incise, mais moi j’ai passé 42 ans à Fontenay-aux-Roses.
Et vous?
Jean Guy Croland.
1 RÉPONSE
Bonjour Monsieur Croland, votre humour désarmant qui me fait penser à Beaumarchais est le bienvenu en ce dimanche automnal.